Le projet du Val Saint-Lambert, en concurrence avec 111 autres dossiers, a remporté le MAPIC Award du Meilleur Développement Commercial du Futur le 14 novembre dernier à Cannes.
La 25e édition du MAPIC, ou le salon de l’immobilier commercial, s’est tenu au Palais des Festivals de Cannes du 13 au 15 novembre dernier. Ce rendez-vous annuel, réservé aux acteurs de l’immobilier commercial, a pour objectif de notamment récompenser le meilleur village de marques, la meilleure régénération commerciale de centre-ville ou encore le meilleur projet de centre commercial.
Un événement d’envergure qui a accueilli près de 8.500 participants internationaux, dont plus de 2.500 promoteurs immobiliers et propriétaires de centres commerciaux ainsi que plus de 2.100 enseignes, et qui a permis aux projets présentés de bénéficier d’une visibilité importante. En effet, durant ces trois jours de meeting, investisseurs, concepteurs, enseignes ou encore architectes ont eu l’occasion de se croiser, de discuter et de découvrir les propositions de chacun ; à l’instar du promoteur du Val Saint-Lambert de Seraing, Pierre Grivegnée, dont le projet était cette année en lice pour le MAPIC Award du Meilleur Développement Commercial du Futur.
Un prix important qu’il a remporté le 14 novembre dernier face à 111 autres projets issus de 33 pays différents. Les 12 membres du jury international ont tout d’abord sélectionné quatre candidats avant de se positionner et de départager les finalistes (Irlande, Chine, Espagne et Val Saint-Lambert). Ensemble, ils ont choisi de récompenser le Val Saint-Lambert pour son approche innovante, intégrant les nouvelles tendances en mixant les fonctions, plaçant le loisir et l’expérience au centre et en optant résolument pour une gestion énergétique et environnementale du futur.
Une fabuleuse reconnaissance
« Ce MAPIC AWARD pour le Val St Lambert, c’est d’abord une fabuleuse reconnaissance de notre travail par le secteur immobilier consacrant ici un projet atypique et innovant, qui a compris les changements en marche ; c’est aussi une véritable visibilité internationale dont le Val Saint-Lambert tirera assurément avantages », commente Pierre Grivegnée. Une victoire qui met bien évidemment en lumière le travail effectué depuis dix ans par les responsables de ce projet sérésien. Pour rappel, il allie un développement commercial sur le site des anciennes cristalleries du Val Saint Lambert avec un vaste pôle de loisirs intérieurs et extérieurs, un programme de logements d’environ 450 unités, des bureaux, la nouvelle cristallerie, un hôtel et le pôle de séminaires et d’événements de Châteauform’.
Outre la rénovation du château et de l’abbaye du Val Saint-Lambert et les travaux d’assainissements réalisés par la SPAQuE, c’est maintenant la phase de construction qui a débuté ce 18 novembre avec la rénovation des anciens bâtiments industriels du XIXe siècle. Le projet a été profondément remanié pour conserver ses splendides vestiges industriels qui ont fait la réputation du site mais qui sont à l’abandon depuis plus de 50 ans.
Parallèlement, le projet se veut à la pointe de la technologie grâce à un partenariat avec John Cockerill Energy. Le Val Saint Lambert Free Time Park sera alimenté en électricité verte par la centrale énergétique cogénération fournie par John Cockerill. A l’instar de l’installation pilote MiRIS déployée sur le site sérésien de John Cockerill, cette centrale sera composée de systèmes de production photovoltaïque, de solutions de stockage de l’énergie produite et d’un EMS (Energy Management System), véritable cerveau de l’installation, qui optimise automatiquement l’usage fait de l’électricité (stockage, consommation ou réinjection sur le réseau). Ce projet s’inscrit dans la droite ligne de la mission que John Cockerill s’est fixée : répondre aux besoins de son temps, et notamment faciliter l’accès aux énergies renouvelables.